Les petites mains

Publié le par yankeedancers

Dans toutes associations de personnes, de cultures, sportives, on rencontre des personnages. Dans ce contexte je vais mettre un P majuscule à Personnage.

Un personnage c'est l'homme ou la femme qui est présent sans l'être, toujours au moment ou il faut, serviable à l'instant demandé. C'est aussi un quelqu'un que l'on voit pas forcément mais qui apparaît au moment opportum.

Un personnage c'est aussi une présence affirmée qui avec sa cour rayonne et pavanne, ne pouvant se reconnaître que dans les yeux d'autrui. Personnage qui sera le leader et amènera sa troupe derrière son aura vers des chemins que lui aura décidé. .Sans parler de politique on reconnaitra ce Personnage grâce au panel complet utilisé pour se faire valoir.

Ils sont la locomative qui mène le train. Que serait un train sans locomotive ? Que serait une locomotive sans wagons ?

 

 

Dans l'association des Yankee Danders, j'aimerai vous présenter deux PERSONNAGES. Là je mettrais le « mot » tout en majuscule.

Reconnaissable ils le sont, pour l'un avec sa bouille d'ours mal léché, pour l'autre un sourire qui lui fend le visage. Les yeux, des fois tristes, qui ne l'est pas, des fois tirés, mais toujours pleins de malices par l'expérience de la vie qu'ils ont vu. Le caractère, aaaah ! Le caractère, ce qu'ils ont en commun, c'est qu'il est bien trempé, forgé par une existane bien remplie, aux multiples épreuves, d'une vie professionnele, que l'on pourrait classée hors du commun. Comment les manquer, chez les Yankee Dancers, ou je pense même ailleurs, éh bien on ne peux pas, leur aura les illumine en les rendant intemporel, voilà intemporel, on ne peut concevoir qu'ils n'aient jamais été...... là !

 

Je ne vais pas tenir plus longtemps le suspens. Je suis sur que vous aviez déjà deviné de qui je parlais

 

Politesse oblige on commencera par madame, Arlette et Jeannot, au nom des Yankee Dancers, j'aimerai vous dédicasser cet article.

 

Hormis le leader incontesté qu'est Bruno, les petites mains, comme on les appelle, forgent et malaxent la terre de la batisse qui abrite aujourd'hui les Yankee Dancers. Le monde des adhérents sait ce que cette belle association représente à leurs yeux. Que de temps passés à chercher, la musique qui va bien, la chorée qui correspond, les kilometres en voiture pour porter l'étandart du skull dans les régions de France. Que de papiers usés pour retrouver le chiffre perdu afin de ramener le bilan, des tracasseries,s'ajoutant à celles de la famille, qui demandent des solutions. Un poids qui n'a jamais altéré cette confiance, cet amour en un mot cette passion qui vous anime pour l'association des Yankee Dancers.

En cemoment les temps sont durs pour notre «  ours mal léché «  ( je fais confiance à arlette pour palier à ce manque) les caprices de la nature dans sa Bonté, infligent à Jeannot des épreuves. Arlette, l'épouse, avec dans le mot toute la consonance qu'il représente « épouse », le pilier du couple adoucie autant ce peut ces épreuves.

De ces mots agencés avec plus ou moins de bonheur il y en a «  UN » qui manque, bien trop souvent oublié car dans la nouvelle génération tout est maintenant acquis. Il paraîtrait même qu'il soit impensable qu'il en soit autrement.

On entend bien trop souvent cette phrase «  C'est toi qui l'a voulut...... » Heureusement que c'est un geste naturel de «  l'avoir voulut » ! comment cela pourrait il, qu'il en soit autrement ?

 

Ce mot, pourtant banal, enclin de respect c'est « MERCI » oui merci pour vos regards lumineux de gentilesse, merci pour le travail que vous faîte, merci pour le soutient que vous apportez à cette associations. Pour finir et cela sera ma phrase :


 

MERCI d'accepter que l'on soit : VOS AMIS

 


 

 

Publié dans La Gazette

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